Oakley Padraig Bennersohn
chace crawford

je n'ai jamais vraiment pensé à la façon dont j'allais mourir. J'ai toujours cru que mon coeur aurait raison de moi à un moment ou à un autre. Mais mourir à la place que quelqu'un que l'on aime me semble être une fin enviable.

état civil ▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄ nom = harkness prénom = oakley date de naissance = 27 dec 1989 âge = 19 ans

confidentiel ▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄ groupe = on my shoulders pouvoir = régénération celulaire intensité du pouvoir = forte rôle = génie

la découverte
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Il faut toujours que tu me considère comme malade ! Hurla alors Oakley. Sa voix s'évanouit dès l'instant où il découvrit que ses deux interlocuteurs avaient disparus. Il écarquilla les yeux. Le chat c'était retrouvé brutalement sur le sol, retombant sur ces pattes, ce même chat qui l'instant d'avant était dans les bras de sa mère, qui restait impassible face à la colère du jeune homme. Elle avait disparue. POUF. A ses côtés se tenait le futur beau père du garçon, lui aussi, POUF. Il avait disparu. Sa mère lui disait encore ce qu'il devait faire, elle le considérait comme un enfant, et avant tout, elle le considérait comme un malade qui avait besoin que l'on s'occupe de lui. Oakley Bennersohn était malade oui, il souffrait d'une insuffisance cardiaque de classe II. Son activité physique était limité, à l'école il n'avait jamais fait de sport avec les autres, il n'avait jamais jouer au foot ball, jamais jouer au base ball, non. Lorsqu'il est au repos, il y a une absence de symptôme. En revanche lors d'une activité physique habituelle peut entrainer chez lui une fatigue, des palpitations et des douleurs angineuse. Kley n'a jamais voulu être considéré comme handicapé, ou même malade, il s'est toujours considéré comme quelqu'un ayant des capacités physique plus limité, constamment accroché à ses médicaments. Il ne s'est jamais considéré comme malade, puisque selon lui, il s'en sort très bien tout seul. Il vit seul à Havard, il poursuivit des études brillantes en astrophysique. Il avait selon lui plus que réussi, il avait sauté une classe et avait quitté ce trou, cette ville. Enfin, jusqu'à maintenant, il était revenue pour la mariage de sa mère, à contre cœur, bien que ravie de revoir sa petite sœur ( et accessoirement la meilleure amie de celle ci, Belle. )

Machinalement, le jeune homme regarda autour de lui, cherchant sa mère, et son futur beau père pensant qu'ils s'agissait d'une blague de leur part, et peut être qu'il s'était assoupi un instant. Il fit le tour de la pièce, cherchant ces derniers avec un sourire inquiet sur le visage. Des mots lui brûlaient les lèvres, il avait envie de dire : « c'est pas drôle, maman, montrez vous. », mais il n'arrivait pas à dire ce mots, non il n'y arrivait pas, pas du tout. Il s'arrêta au centre de la cuisine, et laissa s'effacer cet étrange sourire, laissant apparaître une mine beaucoup plus inquiète. Il sursauta lorsque le chat chicky se frotta contre ses jambes. Étrange, étrange, ce chat était dans les bras de sa mère qui avait.... pouf disparu. Passant nerveusement sa main dans les cheveux, il commença à respirer de façon calme, il respirait la bouche ouverte, comme pour s'apaiser. Il avait peur ? Il fallait être fou pour ne pas avoir peur dans ce genre de situation, sa mère et son beau père venait de disparaître, comme par magie. N'importe quelle personne censé serait morte de trouille. Oakley, lui était censé et mort de trouille.

Il sorti de la cuisine, personne, personne dans le salon. La télé qui était allumée présentait maintenant des petits points blanc et noir indiquant l'absence de signal télé. Il secoua la tête, tentant de réfléchir à la vitesse de la lumière. Il était réputé pour son esprit vif, rapide et concis. Il était scientifique, et tout cela devait avoir une raison scientifique. Mais il savait qu'on ne pouvait disparaître comme ça, c'était impossible, l'humain ne pouvait se déplacer à une telle vitesse, sa mère n'avait pas pu disparaître, rationnellement, c'était inconcevable, et pourtant c'est ce qui était arrivé. Il s'assit sur le canapé et pris dans ses mains le téléphone et composa le numéro de sa sœur, il porta la téléphone à son oreille, murmurant machinalement : décroche, décroche. Mais rien, pas de tonalité. Rien. Il cherche dans sa poche son téléphone portable, ce dernier tomba sur le sol, les mouvements du jeune homme étaient saccadés, incertains, tremblants et paniqués. Il parvient à composer une nouvelle fois le numéro de sa sœur et jeta avec colère son téléphone par terre en découvrant qu'il n'y avait pas de tonalité. Il enfoui la tête dans ses mains, tentant tant bien que mal de garder son calme. Dans un geste brusque il se rua automatiquement vers la porte donnant sur la rue et l'ouvrit, restant sur le pas de la porte. Aux autres portes des autres maisons, des gens de son âges, et des biens plus jeunes étaient là regardant autour d'eux l'air incrédule, comme si l'improbable venait de se produire.