Silver Jersey Warren
ashley greene - personnage inventé

« la vie, c'est dure. sans les parents, c'est pire.. »

état civil ▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄ nom = Warren prénom = Silver Jersey date de naissance = 14/10/1990 âge = 18 ans

confidentiel ▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄▄ groupe = on my shoulders pouvoir = aucun (a) intensité du pouvoir = zéro rôle = à voir.

la découverte
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DIX-SEPT HEURES • WARREN'S HOUSE.
Comme tous les jours, vers dix-sept heures, après les cours, je rentrais chez moi. Mauvaise nouvelle, j'avais encore raté mon examen de maths. Une fois de plus. Pour moi, cela devenait une habitude, pour mes parents aussi d'ailleurs. Même si cela les énervaient. Qu'allaient-ils encore me dire ? En général, soit ils me disaient rien ou alors, c'était tout le contraire. Cela ne me faisait pas plaisir, je l'avoue. Mais les maths et moi, cela a toujours fait deux, voir même quatre !
Je venais de passer la porte d'entrée de ma maison, je déposais alors mon sac contre le mur puis je retirais ma veste que je posais sur le porte-manteau. J'avançais vers la cuisine. Ma mère était déjà là, elle préparait déjà le dîner. Je la saluais alors, tandis que je fouillais un des placard de la cuisine histoire de voir si je pouvais trouver quelque chose à grignoter. Ma mère me demanda alors comment c'était passée ma journée. Évidemment. Comment pouvais-je éviter cette question ?
« Bien. ». Bon d'accord, je ne savais pas quoi dire d'autre. J'me demande comment ils font quand même. A chaque fois que j'ai un examen de maths, ils me demandent toujours comment se passe ma journée.. Mon père fit alors irruption dans la pièce. Il venait de rentrer de son boulot. Pour mon plus grand plaisir. J'espère que ma mère ne continuerait pas son questionnaire ou alors, j'allais passé un mauvais quart d'heure. Ma mère me regardait toujours.

« MAMAN WARREN • Et sinon ? A part bien ?
SILVER • Hum.. Re-bien ?
MAMAN WARREN • C'est pas aujourd'hui que tu as eu maths par hasard ?
SILVER • Si, pourquoi ?
PAPA WARREN • Ton exam', Silver, réfléchis.
SILVER • Ah, ce truc là.
MAMAN WARREN • Ça veut tout dire ! Combien cette fois ?
SILVER • Hum, quatre sur vingt. »

C'était reparti ! Une fois de plus, j'allais passé un mauvais quart d'heure pour seul sujet : mes cours de maths. Ce n'était pas de ma faute moi, si les maths, c'était compliqué et que je n'aimais pas. Zut à la fin ! C'est pas la fin du monde, non ? Certes, les maths, c'était important mais bon.
Furieuse, je ne pris même pas la peine d'écouter mes parents, je pris la direction du couloir et montais directement les escaliers. Là-haut, je rentrais dans ma chambre puis, je claquais la porte. Pour finir, j'allumais la radio et j'augmentais le volume, mais pas trop fort quand même.


VINGT HEURES • WARREN'S HOUSE.
J'étais toujours dans ma chambre, la radio toujours allumée. La seule différence, ma porte, elle était ouverte quand ma petite sœur était venue me voir me demander si j'allais bien puisqu'elle avait évidemment entendue toute la dispute. Ah, ma p'tite sœur, elle était trop mignonne. Toujours là pour moi et vice-versa.
J'entendais toujours le son de la télé, mais pas la voix de mes parents. De plus, je commençais à avoir sérieusement faim. C'est pour cela que je décidais de descendre en bas, histoire de savoir quand est-ce que l'on allait manger. Je descendais donc les escaliers. Je n'entendais toujours pas la voix de mes parents. C'était bizarre. Personne. Il n'y avait personne ! Sauf les voix de la télé car cette dernière était allumée. Jamais mes parents n'étaient encore partit le soir, surtout sans nous avoir prévenu ma sœur et moi. Je fis un tour dans la cuisine, mes parents n'avaient même pas laissé un mot sur la table. Paniquée, j'appelais ma petite sœur. Elle non plus ne comprenait pas ce qui se passait. Malgré qu'elle était petite, elle était déjà très mûre pour son âge. Contrairement à moi en tout cas.
Ma première initiative fût d'appeler ma meilleure amie. Celle-ci ne comprenait pas non plus ce qui s'était passée. Ses parents, eux aussi, n'étaient plus là. Ma meilleure amie commençait à pleurer. En effet, c'était une fille super fragile. Je tentai de la rassurer, en vain. J'étais moi-même en train de paniquer. Peut-être que c'était une coïncidence. Puis, ma meilleure amie devenant tellement inconsolable, je lui dis alors de venir dormir chez moi, que ses parents rentrerais dans la soirée et donc, de leur laisser un mot pour ne pas qu'ils s'inquiètent.
Après avoir raccrochée, je fis signe à ma petite sœur de remonter dans sa chambre, qu'elle continue à s'amuser.
Une fois qu'elle fût là-haut, mes larmes commencèrent à couler. Oui, je n'avais pas voulu pleurer devant ma sœur, je ne voulais pas l'affoler.
Puis, sans vraiment savoir ce que je faisais, j'appelais une personne, Y. La seule vrai personne qui essayait de me comprendre, à part ma meilleure amie bien sûr. Je n'avais jamais su pourquoi mais il avait toujours le don pour me remonter le moral. Même si dès fois, je me prenais la tête avec lui, je l'aimais. Il décrocha rapidement, tout en sachant que c'était moi. Il m'entendait pleurer, laquelle fût sa première réaction de me demander pourquoi je pleurais. Je lui racontais alors toute l'histoire de A à Z tout en passant par ma meilleure amie. Choqué, il m'annonçait alors que ses parents avaient eux aussi disparus. Mes larmes coulèrent de plus en plus. Je ne comprenais toujours pas comment cela avait pu arriver. Lui non plus ne comprenait pas ce qu'il se passait mais une chose était sûre : ils avaient tous disparus.